Breaking news pour certains, Flash info pour d’autres ; « Le père noël n’existerait pas! ».
La nouvelle fait le tour des plateaux. Comme d’habitude les chaines d’info continue sont prises de court par internet. Elles improvisent, des journalistes témoignent « si je l’ai vu quand j’étais petit! » d’autres d’avis contraire avoue « je le savais déjà c’est une énorme « fake news » peut être le pire mensonge de tous les temps ».
Au fil de la journée les rédactions s’organisent, on fait venir du solide, du sûr, en fait des experts. Ces derniers arrivent armés de leurs convictions acquises dans leurs bureaux. Ils ne prennent pas de risque, éludent la question, des fois qu’ils se planteraient et ne seraient plus appelé sur l’oracle de l’info. L’un assure que c’est le fait qu’il y ait de moins en moins de cheminée ! L’autre plus pragmatique affirme que « vu la démographie galopante le père noël ne peut plus assurer! » et un économiste de dire « c’est Amazon et Cie qui ont fait que le père noël n’existe plus ! » Un certain Seymour, même y va de son discours « je suis convaincu que ce sont les musulmans qui diffusent ces infos. Ils font tout pour nous enlever nos traditions, les crèches, noël et maintenant le symbole de cette fête; cela suffit ! ». Même les féministes s’en mêlent disant : « ce n’est pas normal que l’on parle de père noël pourquoi pas une femme ».
L’info se poursuit dans la matinée, agrémentée de reportage où l’on voit, là, des chariots tirés par des rennes dans le grands nord, là, un homme déguisé devant un grand magasin en colère arguant qu’on est en train de lui casser son boulot avec leur info à la c…
La matinée va bon train, c’est noël pour ces télévisions qui ont trouvé un sujet leur permettant de distiller leurs pubs. A la mi-journée l’info s’essoufflant on fait venir des politiques pour relancer le débat, en général ceux-ci ne veulent pas partir dans ces débats, voulant laisser le rêve à leurs électeurs, sachant, vu le contexte, qu’il ne faut pas toucher à ce genre de croyance.
Peu à peu, comme le veut l’époque, la folie s’estompe pour retourner à sa source même, le Net.
Croire au père noël, c’est avoir du rêve, valeur inestimable. Le monde des médias ne sait pas ce qu’est l'imagination; dans leur tour d’ivoire, ce qui compte c’est l’argent et la popularité, nulle place à l'invention, ils ne se battent que pour rester au premier plan.
Une part de rêve est en nous et faut la cultiver. C’est ce qu’on a de plus précieux, avoir des rêves c’est pouvoir les réaliser un jour.
Avoir de l'imagination pour un enfant, c’est donner un sens à la vie, croire que tout est possible, que l’on peut gérer sa vie. J’espère qu’encore beaucoup d’enfants y croiront, ce sont en eux en qui j’ai confiance, pour faire en sorte que notre monde soit meilleur.
mardi 25 décembre 2018
vendredi 7 décembre 2018
La fracture
Les gilets jaunes ont commencé par les taxes sur l’essence, mais bien vite on a vu poindre un malaise plus important.
Il n’est pas normal qu’un travailleur quel qu’il soit n’arrive pas à vivre de son labeur. Que chaque fin de mois soit pour lui un problème.
On parle écologiquement de fin du monde et eux doivent penser fin du mois.
Depuis la mondialisation on fabrique de plus en plus de pauvres. Les emplois sont devenus rares et précaires. A force de délocaliser, les grandes entreprises ont débauchés ici pour employer ailleurs. De fait ces entreprises font de plus en plus de profit et paient de moins en moins d’impôt.
Quelle aubaine la mondialisation! pour ces grands groupes. Plus de frontières donc plus d’état et plus d’impôts. On parle toujours des ces multinationales comme des choses impersonnelles, mais derrière sont des gens, dirigeants et actionnaires. Où vont-ils se soigner ? Leurs enfants vont dans quelles écoles ? Eux, quelles écoles les ont formé ? Ce sont les services des états qu’ils abandonnent.
Macron, bon prince, accorde des crédits d’impôts aux gros salaires, afin qu’ils investissent. Il habite où lui? Dans un autre siècle ? Pense-il que ces gens vont investir pour le bien d’autrui? Ils veulent amasser plus encore. Je ne pense pas qu’il soit idiot à ce point, il ne fait que rendre la monnaie de la pièce (et plus encore!) à ceux qu’ils l’ont aidé à prendre le pouvoir. Pourtant Macron a été aussi à l’école de la république.
Le pays se divise en deux, la classe moyenne s’appauvrit et vient grossir les rangs des gens qui comptent pour savoir s’ils peuvent prendre des vacances ou des loisirs. Donc deux classes émergent, la classe des sur-éduqués, les élites, la classe dirigeante et le reste, le peuple qu’on ponctionne pour faire tourner l’état. J’entendais une ministre expliquer à une personne gagnant le SMIC comment pouvoir économiser vingt euros par mois alors que l’on distribue des milliards en crédits d’impôts aux fortunés, ce n’est plus de la politique, c’est de l’indécence, c’est une grande violence.
Avec le nouveau président tout un tas de jeunes frais émoulus des grandes écoles viennent donner des leçons à des gens qu’ils méprisent ; ils ne leur arriveront pas à la cheville.
Dans leurs écoles les dirigeants au pouvoir n’apprennent pas à connaitre le peuple, on leur dit qu’ils sont supérieurs, qu’ils sont là pour commander des classes inférieures qui ne savent pas . On en arrive à une situation de blocage ou la base, déçue de ces jumeaux de la politique qui nous gouvernent depuis plus de vingt ans, se rebelle.
Je suis contre la violence, elle va être récupérée par la classe privilégiée. Il faut savoir que la plus part des gens subissent une violence morale dans le travail, dans les transports et la vie au quotidien. Avec la mondialisation, les ouvriers acceptent des emplois qu’ils n’auraient pas pris il y a vingt ans. Un nivellement par le moyen est en place, un emploi ,mal payé, est mieux que le chômage, une dévalorisation d’un poste est acceptée pour ne pas le perdre. Aucun espoir d’avancement n’est permis. La violence c’est quand aucun horizon n’est visible.
Macron ne l’a pas compris, il est près à mettre le pays à feu et à sang pour continuer son laminage.
Qu’il profite ça ne va pas durer.
Il n’est pas normal qu’un travailleur quel qu’il soit n’arrive pas à vivre de son labeur. Que chaque fin de mois soit pour lui un problème.
On parle écologiquement de fin du monde et eux doivent penser fin du mois.
Depuis la mondialisation on fabrique de plus en plus de pauvres. Les emplois sont devenus rares et précaires. A force de délocaliser, les grandes entreprises ont débauchés ici pour employer ailleurs. De fait ces entreprises font de plus en plus de profit et paient de moins en moins d’impôt.
Quelle aubaine la mondialisation! pour ces grands groupes. Plus de frontières donc plus d’état et plus d’impôts. On parle toujours des ces multinationales comme des choses impersonnelles, mais derrière sont des gens, dirigeants et actionnaires. Où vont-ils se soigner ? Leurs enfants vont dans quelles écoles ? Eux, quelles écoles les ont formé ? Ce sont les services des états qu’ils abandonnent.
Macron, bon prince, accorde des crédits d’impôts aux gros salaires, afin qu’ils investissent. Il habite où lui? Dans un autre siècle ? Pense-il que ces gens vont investir pour le bien d’autrui? Ils veulent amasser plus encore. Je ne pense pas qu’il soit idiot à ce point, il ne fait que rendre la monnaie de la pièce (et plus encore!) à ceux qu’ils l’ont aidé à prendre le pouvoir. Pourtant Macron a été aussi à l’école de la république.
Le pays se divise en deux, la classe moyenne s’appauvrit et vient grossir les rangs des gens qui comptent pour savoir s’ils peuvent prendre des vacances ou des loisirs. Donc deux classes émergent, la classe des sur-éduqués, les élites, la classe dirigeante et le reste, le peuple qu’on ponctionne pour faire tourner l’état. J’entendais une ministre expliquer à une personne gagnant le SMIC comment pouvoir économiser vingt euros par mois alors que l’on distribue des milliards en crédits d’impôts aux fortunés, ce n’est plus de la politique, c’est de l’indécence, c’est une grande violence.
Avec le nouveau président tout un tas de jeunes frais émoulus des grandes écoles viennent donner des leçons à des gens qu’ils méprisent ; ils ne leur arriveront pas à la cheville.
Dans leurs écoles les dirigeants au pouvoir n’apprennent pas à connaitre le peuple, on leur dit qu’ils sont supérieurs, qu’ils sont là pour commander des classes inférieures qui ne savent pas . On en arrive à une situation de blocage ou la base, déçue de ces jumeaux de la politique qui nous gouvernent depuis plus de vingt ans, se rebelle.
Je suis contre la violence, elle va être récupérée par la classe privilégiée. Il faut savoir que la plus part des gens subissent une violence morale dans le travail, dans les transports et la vie au quotidien. Avec la mondialisation, les ouvriers acceptent des emplois qu’ils n’auraient pas pris il y a vingt ans. Un nivellement par le moyen est en place, un emploi ,mal payé, est mieux que le chômage, une dévalorisation d’un poste est acceptée pour ne pas le perdre. Aucun espoir d’avancement n’est permis. La violence c’est quand aucun horizon n’est visible.
Macron ne l’a pas compris, il est près à mettre le pays à feu et à sang pour continuer son laminage.
Qu’il profite ça ne va pas durer.
samedi 17 novembre 2018
Gilets jaunes
J’aurais préféré le vert comme couleur.
Nous sommes loin de la transition écologique, le pétrole devrait être banni et on se bat pour qu’il soit moins cher.
Le gouvernement prend des mesures, non pour l’écologie, mais pour remplir les caisses de l’état, le pétrole plus cher c’est juteux vu les taxes imposées. Cela fait partie des impôts indirects. On pourrait penser que cet impôt est équitable, les gens payant autant qu’ils se déplacent, mais voila beaucoup sont pénalisés, ils doivent ce servir de leur véhicule pour aller travailler, faute d’autres solutions. Ce sont les zones rurales qui sont les plus impactées et en cela ce n’est pas équitable.
On ne peut, du jour au lendemain, imposer des mesures anti pollution alors qu’on a rien fait depuis plusieurs dizaines d’année pour améliorer les transports en communs. Ce ne doit pas être seulement certaines catégories de personne qui doivent payer la facture.
Les hommes aux pouvoirs n’ont rien fait.
Pire, on a expliqué aux gens que s’ils voulaient du travail il leur fallait de la mobilité donc des moyens de locomotion.
Pire encore, on a forcé les gens à acheter du diesel et on les matraque maintenant. Puis on a suivi les lobbies des constructeurs de voitures en ne les forçant pas à changer de technologie.
Pire aussi, on a abandonné les voies de trains secondaires, le transport ferroviaire n’évolue pas pour éviter les camions.
Pire enfin, on permet à TOTAL de forer au large de la Guyane pour trouver quoi ? Du pétrole « tiens ça doit être intéressant pour certains ! »
Ah ! Oui pétrole = taxe.
Il est vrai que faire payer les gens est plus simple que d’investir dans des solutions plus durables.
Nous avons des responsables politiques incapables. Ces gens sont élus, payés pour prendre des décisions pour le bien commun ; ils sont d’une incompétence insoupçonnée ; s’ils travaillaient dans le privé ils seraient vite remerciés.
Si on continue à élire un président omnipotent pour 5 ans qui passe son temps à essayer de se faire réélire, qui ne prend pas des décisions à moyen et long terme on continuera à aller dans le mur.
Macron, vient seulement d’apprendre à connaître les gens qu’il gouverne ; ce qu’il a déclaré cette semaine. Comment gouverner un peuple quand on ne le connait pas.
On a perdu 18 mois.
En attendant le monde va pour le mieux :
La Californie brûle, San Francisco est dans un nuage de fumée pour plusieurs jours. Trump nie toujours le dérèglement climatique.
La forêt amazonienne rétrécit. Le nouveau président du Brésil veut intensifier l'agriculture et l’abattage d’arbres séculaires.
Et puis et puis…
La liste est trop longue.
On a n’a rien à attendre des politiques si on veut sauver le monde c’est à nous de le faire.
Ou bien, tranquillement, on attend la fin.
Nous sommes loin de la transition écologique, le pétrole devrait être banni et on se bat pour qu’il soit moins cher.
Le gouvernement prend des mesures, non pour l’écologie, mais pour remplir les caisses de l’état, le pétrole plus cher c’est juteux vu les taxes imposées. Cela fait partie des impôts indirects. On pourrait penser que cet impôt est équitable, les gens payant autant qu’ils se déplacent, mais voila beaucoup sont pénalisés, ils doivent ce servir de leur véhicule pour aller travailler, faute d’autres solutions. Ce sont les zones rurales qui sont les plus impactées et en cela ce n’est pas équitable.
On ne peut, du jour au lendemain, imposer des mesures anti pollution alors qu’on a rien fait depuis plusieurs dizaines d’année pour améliorer les transports en communs. Ce ne doit pas être seulement certaines catégories de personne qui doivent payer la facture.
Les hommes aux pouvoirs n’ont rien fait.
Pire, on a expliqué aux gens que s’ils voulaient du travail il leur fallait de la mobilité donc des moyens de locomotion.
Pire encore, on a forcé les gens à acheter du diesel et on les matraque maintenant. Puis on a suivi les lobbies des constructeurs de voitures en ne les forçant pas à changer de technologie.
Pire aussi, on a abandonné les voies de trains secondaires, le transport ferroviaire n’évolue pas pour éviter les camions.
Pire enfin, on permet à TOTAL de forer au large de la Guyane pour trouver quoi ? Du pétrole « tiens ça doit être intéressant pour certains ! »
Ah ! Oui pétrole = taxe.
Il est vrai que faire payer les gens est plus simple que d’investir dans des solutions plus durables.
Nous avons des responsables politiques incapables. Ces gens sont élus, payés pour prendre des décisions pour le bien commun ; ils sont d’une incompétence insoupçonnée ; s’ils travaillaient dans le privé ils seraient vite remerciés.
Si on continue à élire un président omnipotent pour 5 ans qui passe son temps à essayer de se faire réélire, qui ne prend pas des décisions à moyen et long terme on continuera à aller dans le mur.
Macron, vient seulement d’apprendre à connaître les gens qu’il gouverne ; ce qu’il a déclaré cette semaine. Comment gouverner un peuple quand on ne le connait pas.
On a perdu 18 mois.
En attendant le monde va pour le mieux :
La Californie brûle, San Francisco est dans un nuage de fumée pour plusieurs jours. Trump nie toujours le dérèglement climatique.
La forêt amazonienne rétrécit. Le nouveau président du Brésil veut intensifier l'agriculture et l’abattage d’arbres séculaires.
Et puis et puis…
La liste est trop longue.
On a n’a rien à attendre des politiques si on veut sauver le monde c’est à nous de le faire.
Ou bien, tranquillement, on attend la fin.
vendredi 9 novembre 2018
Pétain un héros ?
Un million trois cent mille soldats français sont morts lors de la première guerre mondiale.
Ce sont ces morts les héros bien que je suis contre en faire des exemples. Les monuments érigés en l’honneur de la guerre ne sont là que pour pousser les gens à aller se battre.
Ce n’est certainement pas dans ce haut commandement qui a envoyé pendant quatre ans des hommes à la boucherie qu’il faut trouver des héros. Pour gagner quelques mètres, une colline on sonnait la charge et les soldats empêtrés dans des barbelés se faisaient faucher par les balles de l’ennemi.
La seule journée du 22 Aout 1914 a fait 27 000 morts dans le camp français et plus de 100 000 dans ce même mois d’Aout. Comment peut-on traiter de héros des gens qui, de leur PC de commandement envoient des hommes se faire tuer en pensant que le nombre sera déterminant face aux mitrailleuses?
En 1914, la guerre inventée pas les hommes en arrive à son paroxysme, des millions d’hommes se retrouvent enfermés dans des tranchées y vivant, y mourant, côtoyant leurs camarades morts pendant plusieurs mois.
Comment cette fabrique de morts a-t-elle pu fonctionner si longtemps ?
Comment ce brasier humain a-t-il pu être approvisionné pendant plus de quatre ans ?
Pourquoi aucun de ces généraux, ces « héros » n’ont-ils pas pensé qu’il fallait en finir avec cette boucherie ? Que tout cela n’avait aucun sens, que de toute façon le résultat serait futile.
Combien ont-ils engendré de veuves, d’orphelins qui ont passé leur vie à panser leurs blessures aussi profondes que celles de leur mari, leur père.
Alors quitte à choquer, je pense que ces généraux ne sont que des bouchers.
Dans les livres d’histoires il n’est question que de bataille, de guerre et de grands stratèges; pourquoi l’humanité est-elle réduite a des conflits pour un bout de terrain?
L’histoire de l’homme devrait n’être faite que de paix et de recherche du mieux vivre.
En 1917 beaucoup de soldats ne voulaient plus faire la guerre, ils ont refusé le combat; alors pour l’exemple on les a fusillés sur place. Ce sont eux qui avaient raison et leur mémoire n’est pas respectée.
Eux sont des héros !
Ce sont ces morts les héros bien que je suis contre en faire des exemples. Les monuments érigés en l’honneur de la guerre ne sont là que pour pousser les gens à aller se battre.
Ce n’est certainement pas dans ce haut commandement qui a envoyé pendant quatre ans des hommes à la boucherie qu’il faut trouver des héros. Pour gagner quelques mètres, une colline on sonnait la charge et les soldats empêtrés dans des barbelés se faisaient faucher par les balles de l’ennemi.
La seule journée du 22 Aout 1914 a fait 27 000 morts dans le camp français et plus de 100 000 dans ce même mois d’Aout. Comment peut-on traiter de héros des gens qui, de leur PC de commandement envoient des hommes se faire tuer en pensant que le nombre sera déterminant face aux mitrailleuses?
En 1914, la guerre inventée pas les hommes en arrive à son paroxysme, des millions d’hommes se retrouvent enfermés dans des tranchées y vivant, y mourant, côtoyant leurs camarades morts pendant plusieurs mois.
Comment cette fabrique de morts a-t-elle pu fonctionner si longtemps ?
Comment ce brasier humain a-t-il pu être approvisionné pendant plus de quatre ans ?
Pourquoi aucun de ces généraux, ces « héros » n’ont-ils pas pensé qu’il fallait en finir avec cette boucherie ? Que tout cela n’avait aucun sens, que de toute façon le résultat serait futile.
Combien ont-ils engendré de veuves, d’orphelins qui ont passé leur vie à panser leurs blessures aussi profondes que celles de leur mari, leur père.
Alors quitte à choquer, je pense que ces généraux ne sont que des bouchers.
Dans les livres d’histoires il n’est question que de bataille, de guerre et de grands stratèges; pourquoi l’humanité est-elle réduite a des conflits pour un bout de terrain?
L’histoire de l’homme devrait n’être faite que de paix et de recherche du mieux vivre.
En 1917 beaucoup de soldats ne voulaient plus faire la guerre, ils ont refusé le combat; alors pour l’exemple on les a fusillés sur place. Ce sont eux qui avaient raison et leur mémoire n’est pas respectée.
Eux sont des héros !
jeudi 18 octobre 2018
Mélenchon perquisitionné!
Mélenchon est un sanguin, un fougueux enfin un colérique ce dernier qualificatif n’est pas une qualité. Quand on gueule trop fort pour ce faire comprendre c’est que les arguments avancés ne sont pas suffisants.
Mélenchon, je l’apprécie pour certaines choses, la sixième république, la modification des statuts de l’Europe pour faire en sorte que l’Allemagne cesse de dicter sa loi. Il est vrai que l’Europe n’apporte pas grand-chose, elle est plutôt un frein pour certains pays, Mélenchon veut contre balancer le pouvoir de l’Allemagne en réunissant les pays méditerranéens. Bon il a d’autres marottes contestables comme avec Chavez et Castro. Ce qui dommageable chez lui c’est la façon dont il dit les choses, façon pas tranquille. Mélenchon n’est pas bien vu de la sphère médiatique, il en a payé le prix lors des dernières élections présidentielles, ses réactions n’arrangent pas les choses.
Tout cela n’excuse en rien ses colères ; Certaines paroles sont graves comme dire qu’il est intouchable, voire « une personne sacrée ! » ; comment les gens peuvent-ils comprendre cela dans une démocratie? C’est un justiciable comme un autre quidam. Comment peut-il se croire intouchable ? Tous les jours des perquisitions sont réalisées dans les entreprises, chez des privés ; ces gens n’ont pas l’audience de Mélenchon pour se plaindre. Il n’est pas au dessus des lois parce qu’il est élu bien au contraire il doit répondre devant le peuple à ce genre d’accusations. Il malmène, de plus, des personnes qui ne font que leur travail.
Ceci étant dit, les moyens pour cette perquisition sont énormes et disproportionnés. La violence est des deux côtés. On est en droit de se poser la question du bien fondé de cette perquisition alors que le parquet est aux ordres du ministre de la justice. Pourquoi les bureaux de Macron ne sont pas visités alors qu’il fait, lui aussi, l’objet d’une enquête ? Où vont tous les documents saisis de ce parti de l’opposition ? Ces documents doivent en intéresser beaucoup. Les renseignements généraux doivent s’en donner à cœur joie avec ces infos.
Mélenchon ne devrait pas céder si facilement à ses impulsions, à son niveau il serait bon qu’il réfléchisse à deux fois avant d’agir. Continuer comme ça en vociférant ne le rend plus crédible.
Enfin, pendant ce temps on ne parle plus de remaniement ni de dégringolade dans les sondage.
vendredi 5 octobre 2018
Comme ils disent!
Charles Aznavour n’est plus. Comme certains, on l’aurait cru intemporel donc immortel ; tellement il a traversé la vie des gens. Intemporel, non ! Car il chantait, racontait la vie du moment. Il écrivait la vie au reflet de l’onde du temps qui s’écoule.
J’ai connu Aznavour relativement tard, moi, fan des groupes pop rock américain et anglais. Les radios dans les années soixante, soixante dix le passaient rarement ; il fallait écouter des émissions plus culturelles pour l’entendre. Je me souviens où je l’ai vraiment découvert. Rendant visite à ma sœur, étudiante à Paris, j’ai vu plusieurs 33 tours d’Aznavour dans son studio et je les ai tous écoutés, découvrant cette poésie, cette écriture juste. Je me rappelle cette chanson « tu te laisse aller ! » qui raconte l’habitude et le laisser aller d’une femme, oubliant les efforts à accomplir pour continuer à se faire aimer. Puis « Désormais», « la mamma » enfin tout le répertoire. Et il y a eu « emmenez-moi » qui a été un « tube » et fait connaitre Aznavour au grand public.
Il disait qu’il pouvait passer des heures à trouver le seul mot, parmi d’autres, qui ferait la rime voulue. Cela se sent dans ses chansons abouties, tous les mots sont à leur place et on ne pourrait pas en chnager ; rendant la poésie facile à écouter. Les gens en le chantant déclament, au contraire de M Jourdain, de la poésie sans le savoir.
Ma chanson préférée reste « comme ils disent ! ». Avant tout c’est une chanson politique, écrite au début des années soixante dix, au temps où les homosexuels étaient emprisonnés, voire condamnés à mort dans beaucoup de pays; ils étaient moqués dans les autres. Aznavour a eu le courage de se mettre dans la peau d’un homosexuel pour donner une autre idée de ces gens qu’on disait « contre nature ». Plus qu’une chanson, c’est un film qui se déroule avec des scènes et des plans. Il décrit une vie « misérable » d’un vieux garçon; puis vient le couplet « mais mon vrai métier.. » et là il s’enflamme montrant la seconde et vraie vie du personnage. Lorsque j'écoute cette chanson je suis toujours transporté par les mots et le rythme des vers.
Pour illustrer et faire connaitre la vie d’une grande partie du vingtième siècle il suffit d’emporter la discographie de Charles Aznavour.
C’est cela un grand poète de son temps.
jeudi 20 septembre 2018
Chronique d'une mort programmée.
ATTENTION : Mes propos peuvent choquer.
La télé ce matin m’averti que les images qui vont suivre peuvent choquer, je prends mon petit déjeuner et vois des images d’enfants décharnés. Des enfants du Yémen dont on devine tout le squelette sous la peau ; on a peur que lorsque leur mère les prend qu’ils se cassent en morceau.
Ce sont des images terribles, je me demande s’il est nécessaire de les montrer.
Il est vrai que l’on ne doit pas occulter la misère du monde, mais je n’ai pas envie de culpabiliser pour d’autres. Ce sont des hommes qui, avec leur bêtise, provoquent ce genre d'horreur.
Le Yémen est en guerre depuis plusieurs années, ce sont deux puissances étrangères, l’Arabie Saoudite et l’Iran, qui se font la guerre par pays interposé. Plus de deux mille enfants sont morts de faim et beaucoup d’autres vont mourir.
L’Arabie saoudite, comme l’Iran ne fabrique pas d’arme, en fait elle achète ses armes aux « grandes puissances » dont la France.
Les vendeurs d’armes s’engraissent sur le dos d’une population qui n’est pas impliquée dans ce conflit. Certains vendeurs possèdent de grands médias qui occultent la guerre au Yémen mais qui nous abreuvent d’images terribles.
Voilà l’horreur dans sa splendeur. Utilisons les moyens que l’on met à faire la guerre pour éradiquer une partie de la misère. Plutôt que de détruire ce pays aidons le à développer son agriculture afin qu’il devienne autonome à nourrir ses enfants.
On va me traiter d’utopiste, me rétorquer que ce n’est pas si simple. J’en ai marre de ces arguments, soit disant responsables, qui ne sont là que pour se confiner dans un confort et amasser encore plus. Tous ces gens « bien intentionnés » souhaitent garder leurs privilèges et n’en ont rien à faire de la misère dans le monde sinon l’exploiter d’avantage.
Pourquoi des choses simples ne seraient pas applicables?
Si Dassault, vendeur d’arme, paie des impôts en France cela veut dire que nos enfants bénéficient de la souffrance d’autres enfants.
Le monde n’a pas fini d’éradiquer les différences. Bien au contraire !
La télé ce matin m’averti que les images qui vont suivre peuvent choquer, je prends mon petit déjeuner et vois des images d’enfants décharnés. Des enfants du Yémen dont on devine tout le squelette sous la peau ; on a peur que lorsque leur mère les prend qu’ils se cassent en morceau.
Ce sont des images terribles, je me demande s’il est nécessaire de les montrer.
Il est vrai que l’on ne doit pas occulter la misère du monde, mais je n’ai pas envie de culpabiliser pour d’autres. Ce sont des hommes qui, avec leur bêtise, provoquent ce genre d'horreur.
Le Yémen est en guerre depuis plusieurs années, ce sont deux puissances étrangères, l’Arabie Saoudite et l’Iran, qui se font la guerre par pays interposé. Plus de deux mille enfants sont morts de faim et beaucoup d’autres vont mourir.
L’Arabie saoudite, comme l’Iran ne fabrique pas d’arme, en fait elle achète ses armes aux « grandes puissances » dont la France.
Les vendeurs d’armes s’engraissent sur le dos d’une population qui n’est pas impliquée dans ce conflit. Certains vendeurs possèdent de grands médias qui occultent la guerre au Yémen mais qui nous abreuvent d’images terribles.
Voilà l’horreur dans sa splendeur. Utilisons les moyens que l’on met à faire la guerre pour éradiquer une partie de la misère. Plutôt que de détruire ce pays aidons le à développer son agriculture afin qu’il devienne autonome à nourrir ses enfants.
On va me traiter d’utopiste, me rétorquer que ce n’est pas si simple. J’en ai marre de ces arguments, soit disant responsables, qui ne sont là que pour se confiner dans un confort et amasser encore plus. Tous ces gens « bien intentionnés » souhaitent garder leurs privilèges et n’en ont rien à faire de la misère dans le monde sinon l’exploiter d’avantage.
Pourquoi des choses simples ne seraient pas applicables?
Si Dassault, vendeur d’arme, paie des impôts en France cela veut dire que nos enfants bénéficient de la souffrance d’autres enfants.
Le monde n’a pas fini d’éradiquer les différences. Bien au contraire !
samedi 4 août 2018
Feu le monde!
L’avion survole la forêt, décrit un demi-cercle puis plonge vers la cime des arbres. Le nez au vent enfin il se cabre vers le ciel tout en larguant sa poudre rouge.
Le pilote aperçoit les flammes grimpant aux arbres, mangeant toute verdure et ne laissant que des squelettes fumants. Au bout d’un chemin il voit un rectangle rouge avec des fourmis autour, ce sont des pompiers à la limite de se faire encercler par ce monstre essayant, de ses langues de feu, d’attraper tout ce qu’il y a de vivant.
John pense à la fin du monde ; enfin à la fin de son monde. Il a vécu depuis enfant dans ce milieu paradisiaque au bord d’un lac cerné de bois, il y pêchait, chassait avec son père. Il aurait pu y vivre en autarcie.
Dans la première moitié du vingtième siècle, la Californie était un paradis sur terre, créant des exodes de fermiers d’autres états (lire Steinbeck: Les raisins de la colère), maintenant si l’enfer pouvait se représenter cela pourrait être ce désert de cendres encore rougeoyantes accentué par ces troncs d’arbre encore debout dessinant de leurs branches des crucifix.
J’ai toujours été sensible à la préservation de la nature et voir ces images en boucle m’horripile.
Les premiers tracteurs dans la ferme dégageaient une fumée noire et petit je me demandais ou allait tout ce noir, je le voyais s’étioler dans son ascension vers le ciel mais une question me taraudait : Ou toute cette fumée était-elle stockée? Pensant à un univers fini. Ne voyant pas de réponse ni n'entendant pas les mêmes questions, je doutais de mes inquiétudes et me méfiais de ma naïveté. J’ai commencé alors à écrire des poèmes sur ces sujets.
Ce n’est qu’un peu plus tard quand je vois ce professeur farfelu arriver sur les écrans de télé ; René Dumont prédisant des catastrophes écologiques, mais sa dégaine de savant fou ne faisait pas peur aux technocrates cravatés ni aux médias déjà muselés. Je ne me sentais plus seul au moins. La machine à broyer ce genre d’homme à idée faisait son œuvre, bien vite on a enfermé ces écolos dans un parti politique pour mieux les récupérer. En aucun cas l’écologie ne devrait être enfermée dans un parti elle devrait comme l’économie, la défense faire partie d’une politique globale. Les beaux penseurs de l’époque devraient se pencher sur les écrits de ce Dumont, lui était un scientifique, un penseur libre et non un de ses conseillers enfermés dans leur carcan, abreuvés par ces multinationales pétrolières (Total , Exon, Shell etc.), chimiques ( Mosanto, Bayer). J’en veux à ces gens! Ils ont eu le pouvoir ils n'ont rien fait.
Le problème de ces entreprises est qu’elles sont devenues impersonnelles donc irresponsables.
Puis il y a eu Seveso (1976), Bhopal (1984; 20 à 25 000 morts selon les associations de victime en inde; le directeur de l'usine chimique, un américain, est décédé de sa belle mort en 2014) , et Tchernobyl. Une fin du vingtième siècle ponctuée de catastrophes humaines et le monde continuait sa course infernale.
L’homme aurait été capable de corriger ces erreurs. Il avait la technologie, le savoir; il aurait su palier à ces inconvénients mais quelques semblables, au nom du profit les ont censurés. Je me souviens d’un article dans Ouest France au début des années soixante. Un Argentanais avait fabriqué un moteur à eau ; petit, j’étais sidéré, en fait c’était un moteur à électrolyse ; je me demande ce qu’il est devenu mais suis certain que cela déplaisait aux pétroliers. Combien de découvertes ont été enterrées pour ne pas nuire aux profits de quelques uns. Les gouvernants sont aussi responsables de n’avoir écouté que le discours des financiers.
Ces multinationales ne paient pas d’impôt.
Maintenant on nous assène d’images et de commentaires, nous culpabilisant d’avantage, alors que ces journalistes ou leur père se sont moqués, il y a longtemps, de la mise en garde contre la destruction de la planète.
Ce n’est pas fini car la machine va s’emballer, comme un programme récursif sans contrôle. Le réchauffement fait fondre les pôles, une aubaine pour les pétroliers ; ils vont pouvoir forer le pôle nord, leurs bateaux pourront ouvrir des routes et les glaces fondront d’avantage. « La boucle est bouclée » comme on dit ; ce n’est malheureusement pas une boucle mais une spirale.
Voilà pourquoi je suis en colère; on vient chez moi me donner des leçons, bien sûr chacun est responsable mais le but aurait été de s’attaquer à la source pour ne pas en arriver là.
Pour cela il faut être au pouvoir.
Le pilote aperçoit les flammes grimpant aux arbres, mangeant toute verdure et ne laissant que des squelettes fumants. Au bout d’un chemin il voit un rectangle rouge avec des fourmis autour, ce sont des pompiers à la limite de se faire encercler par ce monstre essayant, de ses langues de feu, d’attraper tout ce qu’il y a de vivant.
John pense à la fin du monde ; enfin à la fin de son monde. Il a vécu depuis enfant dans ce milieu paradisiaque au bord d’un lac cerné de bois, il y pêchait, chassait avec son père. Il aurait pu y vivre en autarcie.
Dans la première moitié du vingtième siècle, la Californie était un paradis sur terre, créant des exodes de fermiers d’autres états (lire Steinbeck: Les raisins de la colère), maintenant si l’enfer pouvait se représenter cela pourrait être ce désert de cendres encore rougeoyantes accentué par ces troncs d’arbre encore debout dessinant de leurs branches des crucifix.
J’ai toujours été sensible à la préservation de la nature et voir ces images en boucle m’horripile.
Les premiers tracteurs dans la ferme dégageaient une fumée noire et petit je me demandais ou allait tout ce noir, je le voyais s’étioler dans son ascension vers le ciel mais une question me taraudait : Ou toute cette fumée était-elle stockée? Pensant à un univers fini. Ne voyant pas de réponse ni n'entendant pas les mêmes questions, je doutais de mes inquiétudes et me méfiais de ma naïveté. J’ai commencé alors à écrire des poèmes sur ces sujets.
Ce n’est qu’un peu plus tard quand je vois ce professeur farfelu arriver sur les écrans de télé ; René Dumont prédisant des catastrophes écologiques, mais sa dégaine de savant fou ne faisait pas peur aux technocrates cravatés ni aux médias déjà muselés. Je ne me sentais plus seul au moins. La machine à broyer ce genre d’homme à idée faisait son œuvre, bien vite on a enfermé ces écolos dans un parti politique pour mieux les récupérer. En aucun cas l’écologie ne devrait être enfermée dans un parti elle devrait comme l’économie, la défense faire partie d’une politique globale. Les beaux penseurs de l’époque devraient se pencher sur les écrits de ce Dumont, lui était un scientifique, un penseur libre et non un de ses conseillers enfermés dans leur carcan, abreuvés par ces multinationales pétrolières (Total , Exon, Shell etc.), chimiques ( Mosanto, Bayer). J’en veux à ces gens! Ils ont eu le pouvoir ils n'ont rien fait.
Le problème de ces entreprises est qu’elles sont devenues impersonnelles donc irresponsables.
Puis il y a eu Seveso (1976), Bhopal (1984; 20 à 25 000 morts selon les associations de victime en inde; le directeur de l'usine chimique, un américain, est décédé de sa belle mort en 2014) , et Tchernobyl. Une fin du vingtième siècle ponctuée de catastrophes humaines et le monde continuait sa course infernale.
L’homme aurait été capable de corriger ces erreurs. Il avait la technologie, le savoir; il aurait su palier à ces inconvénients mais quelques semblables, au nom du profit les ont censurés. Je me souviens d’un article dans Ouest France au début des années soixante. Un Argentanais avait fabriqué un moteur à eau ; petit, j’étais sidéré, en fait c’était un moteur à électrolyse ; je me demande ce qu’il est devenu mais suis certain que cela déplaisait aux pétroliers. Combien de découvertes ont été enterrées pour ne pas nuire aux profits de quelques uns. Les gouvernants sont aussi responsables de n’avoir écouté que le discours des financiers.
Ces multinationales ne paient pas d’impôt.
Maintenant on nous assène d’images et de commentaires, nous culpabilisant d’avantage, alors que ces journalistes ou leur père se sont moqués, il y a longtemps, de la mise en garde contre la destruction de la planète.
Ce n’est pas fini car la machine va s’emballer, comme un programme récursif sans contrôle. Le réchauffement fait fondre les pôles, une aubaine pour les pétroliers ; ils vont pouvoir forer le pôle nord, leurs bateaux pourront ouvrir des routes et les glaces fondront d’avantage. « La boucle est bouclée » comme on dit ; ce n’est malheureusement pas une boucle mais une spirale.
Voilà pourquoi je suis en colère; on vient chez moi me donner des leçons, bien sûr chacun est responsable mais le but aurait été de s’attaquer à la source pour ne pas en arriver là.
Pour cela il faut être au pouvoir.
mardi 24 juillet 2018
Profession : Barbouze
L’Elysée recrute : « Suite à un désistement ; cherche homme de main (de poing de préférence) pour faire le ménage. Bon salaire, appartement de fonction, avancement rapide. Nous demandons surtout une discrétion absolue. »
Oui je sais on va dire que je fais une fixation sur Macron. J’en parle souvent trop souvent dans mes blogs précédents, mais il est tellement prévisible que j’ai l’impression de dire des banalités. Il est en dessus des partis, il est en dessus de tout le monde et si quelqu’un est sur son chemin il a les bras nécessaires pour intervenir.
Une impression d’être manipulé quand même par les médias. Il y a encore une semaine l’équipe de France est championne du monde ; les infos ne traitent que de cela, si bien que je me posais la question : « comment va le monde ? » puis la joie tout juste retombée l’info « Benalla » arrive comme par hasard alors qu’elle date du 1er Mai. Il y a quand même un scénario bien huilé.
Je vois bien Macron dépité, pensant surfer sur la vague des champions du monde une tuile se décroche de son palais pour lui tomber sur la tête.
Je ne sais pas vous, mais quand l’info tombe sur les écrans je la trouve un peu futile ; un type qui en tabasse un autre au milieu d’autres bagarres il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Pourtant au fil des infos on s’aperçoit qu’il y a quand même des bizarreries. Avoir un salaire de 10 000 euros, un appartement de fonction, des avantages comme un haut fonctionnaire et surtout une promotion exceptionnelle (enfin j’espère l’exception) passer de brigadier à Lieutenant colonel c’est fort.
Le corps d’armée doit en rougir de colère.
Heureusement avec ce genre de type le naturel revient au galop et ils se font prendre,c'est plus fort qu'eux, dans leurs gènes, ils faut qu'ils dérapent et ça les dirigeants ne l'ont pas encore compris.
Bon pour l’instant tout le monde ouvre le parapluie, pratique la langue de bois mais c’est sûr que des fusibles vont sauter ; puis la tension retombera et comme je le dis dans l’annonce on trouvera un remplaçant un peu plus malin.
Oui je sais on va dire que je fais une fixation sur Macron. J’en parle souvent trop souvent dans mes blogs précédents, mais il est tellement prévisible que j’ai l’impression de dire des banalités. Il est en dessus des partis, il est en dessus de tout le monde et si quelqu’un est sur son chemin il a les bras nécessaires pour intervenir.
Une impression d’être manipulé quand même par les médias. Il y a encore une semaine l’équipe de France est championne du monde ; les infos ne traitent que de cela, si bien que je me posais la question : « comment va le monde ? » puis la joie tout juste retombée l’info « Benalla » arrive comme par hasard alors qu’elle date du 1er Mai. Il y a quand même un scénario bien huilé.
Je vois bien Macron dépité, pensant surfer sur la vague des champions du monde une tuile se décroche de son palais pour lui tomber sur la tête.
Je ne sais pas vous, mais quand l’info tombe sur les écrans je la trouve un peu futile ; un type qui en tabasse un autre au milieu d’autres bagarres il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Pourtant au fil des infos on s’aperçoit qu’il y a quand même des bizarreries. Avoir un salaire de 10 000 euros, un appartement de fonction, des avantages comme un haut fonctionnaire et surtout une promotion exceptionnelle (enfin j’espère l’exception) passer de brigadier à Lieutenant colonel c’est fort.
Le corps d’armée doit en rougir de colère.
Heureusement avec ce genre de type le naturel revient au galop et ils se font prendre,c'est plus fort qu'eux, dans leurs gènes, ils faut qu'ils dérapent et ça les dirigeants ne l'ont pas encore compris.
Bon pour l’instant tout le monde ouvre le parapluie, pratique la langue de bois mais c’est sûr que des fusibles vont sauter ; puis la tension retombera et comme je le dis dans l’annonce on trouvera un remplaçant un peu plus malin.
mercredi 13 juin 2018
Salauds de pauvres!
Alors qu’on a donné des milliards aux entreprises, qu’on a supprimé l’impôt sur la fortune, on va s’attaquer aux aides sociales.
« Pourquoi aider les pauvres, ils n’ont qu’à travailler, les aider, c’est les pousser à la fainéantise »
Voila le discours de Macron. Bon ! Il ne le dit pas de cette façon mais si vous lisez entre les lignes vous y trouverez ce genre de contenu. De plus il le dit de façon insidieuse, pas directement, filmé dans une réunion par un de ses sbires pour faire le buzz.
Comment ces gens peuvent-ils comprendre la pauvreté ? Ils ne l’ont jamais côtoyée, vivant en vase clos dans leur monde. Ils ne comprendront jamais la peur du lendemain, la crainte de ne pouvoir manger à sa faim. Les trajets en transport en commun, les voyages dans les labyrinthes de l’administration pour avoir ce dont on a le droit ne sont pas leur lieu commun.
Si on leur en parle ils auront un petit sourire mesquin qui voudra dire : « ils n’ont qu’à bosser pour y arriver !»
Nous assistons à une violence morale, on culpabilise, on force les gens à trouver des emplois humiliants, on montre du doigt ceux qui ne bossent pas, qui ne participent pas à la vie du pays, on les agresse en les traitant d’assistés. Ces gens on les a utilisé dans les entreprises, ils ont participé à la bonne santé de celles-ci. Puis le mondialisme est passé par là, on a trouvé des salariés moins chers pour abreuver les actionnaires, on a délocalisé pour ne plus payer d’impôts dans le pays, on a nivelé vers la bas les salaires. On a dit que c’était la seule solution, que s’ils ne veulent pas du travail d’autres le prendront.
Maintenant les usines sont parties, elles ont été vendues pour plus de profit encore. Les ouvriers n’ont plus d’avenir, plus d’emplois, plus de dignité.
J’entends la ministre du travail dire « faut leur permettre de créer leur entreprise »
Qu’est ce qu’elle croit que tout le monde va avoir son entreprise ; preuve que ces gens vivent dans un autre monde.
L’argent il y en a, il suffirait de faire rentrer l’argent des exilés fiscaux, des fraudeurs. Il suffirait de faire payer ces grands groupes qui font des profits énormes en ne payant aucune taxe. Le GAFA (Google, Amazone, Facebook et autre Apple), pille impunément alors que lorsqu’on achète un Smartphone on paie la TVA plein pot.
Ces groupes font partie du monde à Macron et ils ne vont pas quand même se priver pour ces « salauds de pauvres » comme disait Gabin dans la traversée de Paris repris pas Coluche plus tard.
« Pourquoi aider les pauvres, ils n’ont qu’à travailler, les aider, c’est les pousser à la fainéantise »
Voila le discours de Macron. Bon ! Il ne le dit pas de cette façon mais si vous lisez entre les lignes vous y trouverez ce genre de contenu. De plus il le dit de façon insidieuse, pas directement, filmé dans une réunion par un de ses sbires pour faire le buzz.
Comment ces gens peuvent-ils comprendre la pauvreté ? Ils ne l’ont jamais côtoyée, vivant en vase clos dans leur monde. Ils ne comprendront jamais la peur du lendemain, la crainte de ne pouvoir manger à sa faim. Les trajets en transport en commun, les voyages dans les labyrinthes de l’administration pour avoir ce dont on a le droit ne sont pas leur lieu commun.
Si on leur en parle ils auront un petit sourire mesquin qui voudra dire : « ils n’ont qu’à bosser pour y arriver !»
Nous assistons à une violence morale, on culpabilise, on force les gens à trouver des emplois humiliants, on montre du doigt ceux qui ne bossent pas, qui ne participent pas à la vie du pays, on les agresse en les traitant d’assistés. Ces gens on les a utilisé dans les entreprises, ils ont participé à la bonne santé de celles-ci. Puis le mondialisme est passé par là, on a trouvé des salariés moins chers pour abreuver les actionnaires, on a délocalisé pour ne plus payer d’impôts dans le pays, on a nivelé vers la bas les salaires. On a dit que c’était la seule solution, que s’ils ne veulent pas du travail d’autres le prendront.
Maintenant les usines sont parties, elles ont été vendues pour plus de profit encore. Les ouvriers n’ont plus d’avenir, plus d’emplois, plus de dignité.
J’entends la ministre du travail dire « faut leur permettre de créer leur entreprise »
Qu’est ce qu’elle croit que tout le monde va avoir son entreprise ; preuve que ces gens vivent dans un autre monde.
L’argent il y en a, il suffirait de faire rentrer l’argent des exilés fiscaux, des fraudeurs. Il suffirait de faire payer ces grands groupes qui font des profits énormes en ne payant aucune taxe. Le GAFA (Google, Amazone, Facebook et autre Apple), pille impunément alors que lorsqu’on achète un Smartphone on paie la TVA plein pot.
Ces groupes font partie du monde à Macron et ils ne vont pas quand même se priver pour ces « salauds de pauvres » comme disait Gabin dans la traversée de Paris repris pas Coluche plus tard.
samedi 14 avril 2018
Les va t'en guerre
Encore une fois les "va t'en guerre" sont sur les dents.
On nous parle d’armes chimiques en Syrie, d’où viennent ces informations?
On nous a rebattu les oreilles avec les armes chimiques de Sadam Hussein, il dérangeait les maitres du monde. Il assurait pourtant la stabilité de la région, même si, je sais qu’il n’était pas innocent de crimes. On ne trouvera pas d’armes chimiques en Irak, mais on y a semé le chaos, en faisant le bonheur des vendeurs d’armes et des terroristes.
Sarkozy lui, ne voulant pas être en reste, a envahi la Libye de son ancien copain Kadhafi. Là encore on a semé le chaos et installé Daech. Kahdafi mettait ses compatriotes à l’aise et permettait à la région d’être calme même si, encore une fois, Kadhafi était un parano dangereux.
Les dirigeants de l’occident ne sont-ils pas dangereux ?
Je disais qu’on n’était pas sûr des armes chimiques en Syrie, l’info ne vient que du côté de ceux qui veulent faire la guerre. Sans être cynique, je ne vois pas pourquoi Bachar el assad tuerait quarante personnes pour se mettre tout le monde à dos alors qu’il en a exterminé des milliers avec des armes « conventionnelles ». A ce sujet je n’ai jamais compris pourquoi il y a des règles dans la guerre, comme si c’était un jeu.
La guerre est une chose terrible lui donner des règles c’est l’accepter.
Quand les états unis déversaient des tonnes de napalm sur le Vietnam, je n’ai pas vu la France aller bombarder les états unis, quand les Français torturaient en Algérie personne n’a levé le petit doigt.
Il y aurait des lois pour certains et pas pour d’autres?
N'oublions pas que les attentats terroristes sont en réaction à une ingérence.
Les "Maîtres du monde" ne se soucient que de leur profit en vendant de l'armement, il se serait préférable qu'ils se soucient du bien être des populations.
UTOPIE?
dimanche 25 mars 2018
L’ombre et la lumière.
Aucune religion ne prône le meurtre.
Aucune sinon des sectes ou des groupuscules d’hommes avides
de sang et de meurtre. Sous l’inquisition ceux qui tuaient et torturaient leurs
semblables n’étaient pas des religieux mais des meurtriers. Se servant de
doctrines obscures ils assouvissaient leur besoin de sang. Ces évêques qui incitaient
au meurtre n’avaient rien à voir avec une doctrine quelconque ; d’ailleurs
souvent ils bafouaient le dogme en pratiquant la fornication, la paresse et
autre péché capital.
Il a suffit au preneur d’otage du SUPER U de clamer « Allahu akba » pour que la mécanique médiatique se mette en route. Ce type est un meurtrier point. Lui donner d’autre adjectif c’est essayer de comprendre un acte de folie. Il est vrai que pour les télés en boucle c’est plus vendeur (mon côté subversif qui refait surface !). Un type qui prend des otages dans un magasin sans prononcer quoique ce soit n’occupera pas si longtemps l’antenne. Là on lance l’arsenal : les attentats, l’islam, la guerre, DAESH , c’est plus juteux. Si ce type était seulement considéré comme un assassin, ce qu’il est, « la messe serait dite ».
Pourquoi donner tant d’intérêt a ce tueur, mettre l’ombre sous les projecteurs ? c’est un fou il n’y a rien d’autre à en dire. Le mettre en lumière ne fait que le montrer en héros et en faire un exemple pour certains désœuvrés regardant ces chaines d’info. Le traiter même de terroriste c’est lui faire honneur; les allemands traitaient les résistants de terroristes, ce type n’a rien à voir avec les résistants, comme il n’a rien à voir avec d’autres combattants de l’ombre des dictatures assassines.
Il a suffit au preneur d’otage du SUPER U de clamer « Allahu akba » pour que la mécanique médiatique se mette en route. Ce type est un meurtrier point. Lui donner d’autre adjectif c’est essayer de comprendre un acte de folie. Il est vrai que pour les télés en boucle c’est plus vendeur (mon côté subversif qui refait surface !). Un type qui prend des otages dans un magasin sans prononcer quoique ce soit n’occupera pas si longtemps l’antenne. Là on lance l’arsenal : les attentats, l’islam, la guerre, DAESH , c’est plus juteux. Si ce type était seulement considéré comme un assassin, ce qu’il est, « la messe serait dite ».
Pourquoi donner tant d’intérêt a ce tueur, mettre l’ombre sous les projecteurs ? c’est un fou il n’y a rien d’autre à en dire. Le mettre en lumière ne fait que le montrer en héros et en faire un exemple pour certains désœuvrés regardant ces chaines d’info. Le traiter même de terroriste c’est lui faire honneur; les allemands traitaient les résistants de terroristes, ce type n’a rien à voir avec les résistants, comme il n’a rien à voir avec d’autres combattants de l’ombre des dictatures assassines.
Je voudrais conclure par la lumière. Cet homme, lieutenant colonel
Beltrame, je ne veux pas savoir s’il pratique une religion. Je le pense comme humaniste. D’autres
vont en faire un héros car le pouvoir à besoin de statues. Je ne sais pas s’il
a voulu mourir à la place d’autres, peut être a-t-il cru pouvoir raisonner ce
fou, car à défaut de religion il croit à la bonté, au bon sens, au bon côté de
l’humain. Peut être a-t-il seulement vécu l’instant en voulant sauver des vies.
Ce que je veux en savoir de cet homme c’est qu’il avait quelque chose de plus qu’une
certaine foi, il avait l’amour de l’autre peut être même l'espoir de sauver ce
fou armé devant lui.
En fait la lumière aura un peu illuminé ce monde d’ombre et de folie.
dimanche 18 mars 2018
Fallait pas l'inviter!
Le printemps revient. Les cheminots vont lancer des grèves sur plusieurs mois. L’état s’attaque à la léthargie de la SNCF, en voulant réformer et privatiser. Les retraités sont dans la rue, on touche à leur pouvoir d’achat. Les Ehpad commencent à se soulever pour défendre l’intégrité et la dignité de leur travail.
Le pouvoir est fort de son côté, il cible les avantages des cheminots pour mettre l’opinion de son côté. Il traite aussi les retraités de nantis et face aux chômages leur dit qu’ils peuvent faire preuve de solidarité. Il utilise le corporatisme pour mieux gérer les conflits, nous dit que les problèmes viennent de notre voisin.
Fallait pas élire Macron ! De ces gens cités plus haut combien ont voté pour lui, pas tous mais un certain nombre, qui nous diront "C’était pour contrer LE PEN!". Elle n’aurait jamais gagné, elle avait peur du pouvoir. Il fallait voter de l’autre côté, voter Mélenchon et ça le pouvoir l’a senti les dernières semaines de la campagne, les médias se sont acharnés sur Mélenchon en blanchissant même Marine. Tous ces syndicats sont restés dans leur carcan ils ont voté contre plutôt qu’utile. Comme si chacun voulait rester dans sa petite tour en gardant les avantages par rapport à d’autre.
Ce que les pouvoirs ont fait depuis vingt ans, c’est un lavage de cerveaux, ils se sont petit à petit immiscés dans nos têtes en nous insufflant des idées. Le problème de la dette, le fait qu’il faut obéir à l’Europe, qu’il faut faire des efforts, se serrer la ceinture car on est le pays le moins travailleur, qui fait le moins d’efforts. La majorité pense que voter Macron n’est pas une bonne solution mais ils sont persuadés, avec ce martèlement, qu’il n’y a pas d’autre solution. Que choisir entre la peste et le choléra vaut mieux la moins pénible. Parce que l’autre solution c’est le diable, il veut taper sur les riches, veut discuter avec l’Europe d’égal à égal, il dit que la dette ce n’est pas un problème et que de toute façon on ne la remboursera jamais. D’ailleurs la dette ce n’est pas nous qui l’avons contractée ce sont les banques qui en ont profité, pourquoi faudrait il encore leur donner de l’argent?
Sous prétexte de dette on veut faire des économies. Donc on commence par les services publics. On va fermer des bureaux de postes, des écoles, des hôpitaux. Ces services ne doivent pas faire de profits, ils sont là pour une qualité de vie du public. Pendant ce temps 120 milliards d’évasion fiscale, c’est évident que le service public ne tient pas le coup si la répartition ne fonctionne plus. Le système français était un des meilleurs au niveau social à condition que les vases communicants fonctionnent. Maintenant les riches gagnent de plus en plus et paient de moins en moins d’impôts. La société Total, une des plus grosses entreprises française, ne verse pas un centime d’impôts.
Macron, je l’ai déjà dit, est au service de la finance. Il va libéraliser à tout prix, réduire le service public au minimum et soutirer de l’argent aux classes moyennes. En fait même Mélenchon se prend les pieds dans le tapis de temps en temps avec ses Chavez et autres Castro et ne devient plus crédible. Macron a un boulevard devant lui.
Seul espoir, des gens comme Besancenot que j’écoutais à « on n’est pas couché » tout le monde avait l’air d’accord avec lui sur le plateau, quant à voter pour lui c’est une autre affaire.
Le pouvoir est fort de son côté, il cible les avantages des cheminots pour mettre l’opinion de son côté. Il traite aussi les retraités de nantis et face aux chômages leur dit qu’ils peuvent faire preuve de solidarité. Il utilise le corporatisme pour mieux gérer les conflits, nous dit que les problèmes viennent de notre voisin.
Fallait pas élire Macron ! De ces gens cités plus haut combien ont voté pour lui, pas tous mais un certain nombre, qui nous diront "C’était pour contrer LE PEN!". Elle n’aurait jamais gagné, elle avait peur du pouvoir. Il fallait voter de l’autre côté, voter Mélenchon et ça le pouvoir l’a senti les dernières semaines de la campagne, les médias se sont acharnés sur Mélenchon en blanchissant même Marine. Tous ces syndicats sont restés dans leur carcan ils ont voté contre plutôt qu’utile. Comme si chacun voulait rester dans sa petite tour en gardant les avantages par rapport à d’autre.
Ce que les pouvoirs ont fait depuis vingt ans, c’est un lavage de cerveaux, ils se sont petit à petit immiscés dans nos têtes en nous insufflant des idées. Le problème de la dette, le fait qu’il faut obéir à l’Europe, qu’il faut faire des efforts, se serrer la ceinture car on est le pays le moins travailleur, qui fait le moins d’efforts. La majorité pense que voter Macron n’est pas une bonne solution mais ils sont persuadés, avec ce martèlement, qu’il n’y a pas d’autre solution. Que choisir entre la peste et le choléra vaut mieux la moins pénible. Parce que l’autre solution c’est le diable, il veut taper sur les riches, veut discuter avec l’Europe d’égal à égal, il dit que la dette ce n’est pas un problème et que de toute façon on ne la remboursera jamais. D’ailleurs la dette ce n’est pas nous qui l’avons contractée ce sont les banques qui en ont profité, pourquoi faudrait il encore leur donner de l’argent?
Sous prétexte de dette on veut faire des économies. Donc on commence par les services publics. On va fermer des bureaux de postes, des écoles, des hôpitaux. Ces services ne doivent pas faire de profits, ils sont là pour une qualité de vie du public. Pendant ce temps 120 milliards d’évasion fiscale, c’est évident que le service public ne tient pas le coup si la répartition ne fonctionne plus. Le système français était un des meilleurs au niveau social à condition que les vases communicants fonctionnent. Maintenant les riches gagnent de plus en plus et paient de moins en moins d’impôts. La société Total, une des plus grosses entreprises française, ne verse pas un centime d’impôts.
Macron, je l’ai déjà dit, est au service de la finance. Il va libéraliser à tout prix, réduire le service public au minimum et soutirer de l’argent aux classes moyennes. En fait même Mélenchon se prend les pieds dans le tapis de temps en temps avec ses Chavez et autres Castro et ne devient plus crédible. Macron a un boulevard devant lui.
Seul espoir, des gens comme Besancenot que j’écoutais à « on n’est pas couché » tout le monde avait l’air d’accord avec lui sur le plateau, quant à voter pour lui c’est une autre affaire.
jeudi 8 mars 2018
La journée de la femme
Comment traiter un sujet comme celui-là sans être jugé sexiste.
Diviser pour mieux régner. C’est toujours tentant pour un pouvoir de regrouper des gens dans des cases. Nous sommes des citoyens du monde. Personnellement je ne me sens pas comme faisant partie d’un groupe, d’une communauté mais d’un tout.
Comparer les salaires. Quand on rentre dans une entreprise on négocie son salaire, que l’on soit homme ou femme et là plus question de communauté c’est chacun pour soi. Toute personne a le droit de discuter ou renégocier son salaire en rapport avec ce qu’il pense apporter à son entreprise. Pour tout diplôme et poste, des barèmes existent dans chaque profession et il n’y est pas fait mention de sexe. La bataille du salaire n’est pas prête de s’arrêter car les entreprises l’ont compris c’est la loi du plus offrant donc du plus bas salaire à niveau compétent qui prime.
Parité veut dire monde aseptisé, on ne peut pas avoir la moitié d’homme et de femme dans chaque endroit social. Les places doivent être données au plus compétent pour un poste que ce soit une femme ou un homme, un homme de couleur ou un blanc. Le fait de vouloir une parité générera toujours des inégalités un homme à capacité supérieure sera lésé du fait de la parité, on peut suivre le même raisonnement dans le sens inverse une femme sera lésée le jour ou il ne pourra y avoir de la place que pour un homme ; dans ce cas les femmes diront qu’elles ont gagné, pas pour la postulante en tous cas.
Donner les mêmes armes à tout le monde au départ doit résoudre ce genre de problème sans pour cela avoir besoin de cotas. Faire de la parité c’est juger sur l’apparence et non la capacité. "Etre capable" n'a rien à voir avec le sexe.
Que dire des féministes. Ce sont des ultras. Qui représentent-elles ? Pas toutes les femmes c’est certain, pas la majorité des femmes non plus. Il y a une forme de haine,une forme d'anti plutôt que de constructif dans leurs propos. Elles nous proposent un monde de bataille et de guerre. C’est la dictature de la minorité. Ce sont ceux qui crient le plus fort qui font la loi. On parle de majorité silencieuse, celle-ci est lésée par le dictat de petits groupes prenant la parole sur la place publique.
Les journalistes nous abreuvent tous les jours de statistiques. J’aimerai savoir comment s’effectuent ces statistiques. Quand on nous dit qu’un tiers des hommes sont des violeurs en puissance, que 90 % des femmes se sont faites agressées dans le métro. j'ai l'impression de ne pas vivre dans le même monde. Je comprends l’insécurité que ressentent les femmes et ne veut en aucun cas minimiser le nombre d'agressions mais ce n’est pas en gonflant des chiffres de cette façon qu’on s’attaque aux vrais problèmes.
Il m’arrivait, dans un autre temps, de laisser ma place à une femme dans le métro. Maintenant je pourrais me faire traiter de sexiste pour ce geste. Alors parité oblige il faut compter le nombre d’hommes et de femmes assis avant de laisser sa place.
Dans ce monde aseptisé ou des règles régissent tout de la vie des humains ; les gens se recroquevilleront sur eux-même et l’autre ne sera qu’un danger pour soi-même.
Diviser pour mieux régner. C’est toujours tentant pour un pouvoir de regrouper des gens dans des cases. Nous sommes des citoyens du monde. Personnellement je ne me sens pas comme faisant partie d’un groupe, d’une communauté mais d’un tout.
Comparer les salaires. Quand on rentre dans une entreprise on négocie son salaire, que l’on soit homme ou femme et là plus question de communauté c’est chacun pour soi. Toute personne a le droit de discuter ou renégocier son salaire en rapport avec ce qu’il pense apporter à son entreprise. Pour tout diplôme et poste, des barèmes existent dans chaque profession et il n’y est pas fait mention de sexe. La bataille du salaire n’est pas prête de s’arrêter car les entreprises l’ont compris c’est la loi du plus offrant donc du plus bas salaire à niveau compétent qui prime.
Parité veut dire monde aseptisé, on ne peut pas avoir la moitié d’homme et de femme dans chaque endroit social. Les places doivent être données au plus compétent pour un poste que ce soit une femme ou un homme, un homme de couleur ou un blanc. Le fait de vouloir une parité générera toujours des inégalités un homme à capacité supérieure sera lésé du fait de la parité, on peut suivre le même raisonnement dans le sens inverse une femme sera lésée le jour ou il ne pourra y avoir de la place que pour un homme ; dans ce cas les femmes diront qu’elles ont gagné, pas pour la postulante en tous cas.
Donner les mêmes armes à tout le monde au départ doit résoudre ce genre de problème sans pour cela avoir besoin de cotas. Faire de la parité c’est juger sur l’apparence et non la capacité. "Etre capable" n'a rien à voir avec le sexe.
Que dire des féministes. Ce sont des ultras. Qui représentent-elles ? Pas toutes les femmes c’est certain, pas la majorité des femmes non plus. Il y a une forme de haine,une forme d'anti plutôt que de constructif dans leurs propos. Elles nous proposent un monde de bataille et de guerre. C’est la dictature de la minorité. Ce sont ceux qui crient le plus fort qui font la loi. On parle de majorité silencieuse, celle-ci est lésée par le dictat de petits groupes prenant la parole sur la place publique.
Les journalistes nous abreuvent tous les jours de statistiques. J’aimerai savoir comment s’effectuent ces statistiques. Quand on nous dit qu’un tiers des hommes sont des violeurs en puissance, que 90 % des femmes se sont faites agressées dans le métro. j'ai l'impression de ne pas vivre dans le même monde. Je comprends l’insécurité que ressentent les femmes et ne veut en aucun cas minimiser le nombre d'agressions mais ce n’est pas en gonflant des chiffres de cette façon qu’on s’attaque aux vrais problèmes.
Il m’arrivait, dans un autre temps, de laisser ma place à une femme dans le métro. Maintenant je pourrais me faire traiter de sexiste pour ce geste. Alors parité oblige il faut compter le nombre d’hommes et de femmes assis avant de laisser sa place.
Dans ce monde aseptisé ou des règles régissent tout de la vie des humains ; les gens se recroquevilleront sur eux-même et l’autre ne sera qu’un danger pour soi-même.
mercredi 7 février 2018
Neige en hiver
L’info du jour, l’unique info d’ailleurs ; en hiver il neige. Toute la journée on va en entendre parler.Avec ses superlatifs, avalanche de neige, naufragés de la route, embouteillages énormes....
Bon faut dire qu’il ne se passe rien dans le monde, enfin rien d’important. Les immigrants n’immigrent plus ou attendent sur la plage à se dorer au soleil. Les terroristes eux sont fatigués de tuer et se reposent (ils tuent le temps c'est mieux). Trump est soudain devenu sage, il gouverne tranquillement sans faire de vague, il ne dit plus de bêtises. Le monde tourne plus rond aussi, pas d’exaction, plus de tyrans opprimant leur peuple, plus d'incendies.
Demain la neige va fondre ; les médias seront fatigués d’en parler. Alors là, le monde va repartir avec ses catastrophes, ses guerres, sa pollution, sa laideur.
La neige aura blanchi ce monde gris, l’espace d’un instant.
Bon faut dire qu’il ne se passe rien dans le monde, enfin rien d’important. Les immigrants n’immigrent plus ou attendent sur la plage à se dorer au soleil. Les terroristes eux sont fatigués de tuer et se reposent (ils tuent le temps c'est mieux). Trump est soudain devenu sage, il gouverne tranquillement sans faire de vague, il ne dit plus de bêtises. Le monde tourne plus rond aussi, pas d’exaction, plus de tyrans opprimant leur peuple, plus d'incendies.
Demain la neige va fondre ; les médias seront fatigués d’en parler. Alors là, le monde va repartir avec ses catastrophes, ses guerres, sa pollution, sa laideur.
La neige aura blanchi ce monde gris, l’espace d’un instant.
lundi 18 décembre 2017
Parler pour ne rien faire.
Avec sa bande, Macron fait une autre politique. Politique du dire. A longueur de journée on nous rabâche les oreilles en nous disant ce qu’on va faire. Si vous écoutez un discours, une interview du LREM, enlevez tout le blabla et entendez ce qui reste ; Pas grand chose.
Ce matin j’ai écouté le vice président de l’assemblée nationale, un petit jeune inconnu, bien propre sur lui, la tête du jeune qui a gravi les échelons du pouvoir, à croire qu’il y a une usine de fabrique de gens du LREM ; Un doute m’envahit, y aurait-il un délit de sale gueule dans cette sélection ? Quoiqu’il en soit, ce type dont j’ai oublié le nom à l’air heureux d’être ici, il raconte, avec le langage Macronien, comment il va gérer le monde. Il ne fait que de raconter car, comme d’habitude, quand on analyse un peu il a passé dix minutes à ne rien dire ; La journaliste, sous le charme certainement lui a servi la soupe,contente des réponses.
Hier on a sorti le grand jeu avec notre Delahousse national, là il faut que je fasse attention à ce que je dis car c’est une icône au même titre que Drucker. Bon donc notre DruckerHouse (jeu de mot !) Pose ses questions innocentes qui poussent à des réponses toutes aussi incolores. Et le jeu continue comme cela pendant une heure. Si on ne fait pas gaffe on est pris par le charme de ces deux beaux parleurs, on peut croire assister à un dialogue sympa ; je te pose une belle question tu me réponds de la même façon. Il faut reconnaître que Delahouse est fort pour mettre en valeur son interlocuteur, j’ai entendu une interview de D’Ormesson et j’ai bien aimé. La différence ici, c’est de la politique et Macron a compris qu’il pouvait tirer profit de cet interviewer. Au final, encore, même si on passe la bande au ralenti, on ne trouve rien. Rien? Non! Des paroles en l’air, des "Je fais ce que je dis!" des "Vous allez voir!" ,des "attendez ça viendra!". Le chômeur, qui regarde ce jeu, se demande dans quel monde il vit. Il se dit que ce n’est forcément pas le même monde que ces deux types. S’il a voté Macron il doit s’en mordre les doigts. Comment lui dire à ce téléspectateur? Il faut qu’il arrête de magnifier ce genre de personne au service des finances.; que lui vaut autant que ces deux intervenants même s'il n'est pas du bon côté de l'écran.
Valoir autant? Pas au niveau financier il est vrai. La grande partie des ministres sont millionnaires et même multimillionnaires, ne leur demandez pas de garder l’ISF (impôt sur la fortune), ils sont gentils mais pas fou au point de céder un peu de leur pécule; non l’argent, ils vont le trouver ailleurs. A défaut d’ISF, ils vont ponctionner la base, on leur a donné les clefs de l’économie ils auraient tord de s’en priver.
Voila! Les journaux ce matin vont nous relater une autre histoire que celle qu’on a pu entendre hier. Evidemment, les médias sont la propriété des mêmes, ceux qui devraient payer l’ISF justement. Le monde est donc parfait comme je le disais précédemment.
Enfin parfait pour eux !
Ce matin j’ai écouté le vice président de l’assemblée nationale, un petit jeune inconnu, bien propre sur lui, la tête du jeune qui a gravi les échelons du pouvoir, à croire qu’il y a une usine de fabrique de gens du LREM ; Un doute m’envahit, y aurait-il un délit de sale gueule dans cette sélection ? Quoiqu’il en soit, ce type dont j’ai oublié le nom à l’air heureux d’être ici, il raconte, avec le langage Macronien, comment il va gérer le monde. Il ne fait que de raconter car, comme d’habitude, quand on analyse un peu il a passé dix minutes à ne rien dire ; La journaliste, sous le charme certainement lui a servi la soupe,contente des réponses.
Hier on a sorti le grand jeu avec notre Delahousse national, là il faut que je fasse attention à ce que je dis car c’est une icône au même titre que Drucker. Bon donc notre DruckerHouse (jeu de mot !) Pose ses questions innocentes qui poussent à des réponses toutes aussi incolores. Et le jeu continue comme cela pendant une heure. Si on ne fait pas gaffe on est pris par le charme de ces deux beaux parleurs, on peut croire assister à un dialogue sympa ; je te pose une belle question tu me réponds de la même façon. Il faut reconnaître que Delahouse est fort pour mettre en valeur son interlocuteur, j’ai entendu une interview de D’Ormesson et j’ai bien aimé. La différence ici, c’est de la politique et Macron a compris qu’il pouvait tirer profit de cet interviewer. Au final, encore, même si on passe la bande au ralenti, on ne trouve rien. Rien? Non! Des paroles en l’air, des "Je fais ce que je dis!" des "Vous allez voir!" ,des "attendez ça viendra!". Le chômeur, qui regarde ce jeu, se demande dans quel monde il vit. Il se dit que ce n’est forcément pas le même monde que ces deux types. S’il a voté Macron il doit s’en mordre les doigts. Comment lui dire à ce téléspectateur? Il faut qu’il arrête de magnifier ce genre de personne au service des finances.; que lui vaut autant que ces deux intervenants même s'il n'est pas du bon côté de l'écran.
Valoir autant? Pas au niveau financier il est vrai. La grande partie des ministres sont millionnaires et même multimillionnaires, ne leur demandez pas de garder l’ISF (impôt sur la fortune), ils sont gentils mais pas fou au point de céder un peu de leur pécule; non l’argent, ils vont le trouver ailleurs. A défaut d’ISF, ils vont ponctionner la base, on leur a donné les clefs de l’économie ils auraient tord de s’en priver.
Voila! Les journaux ce matin vont nous relater une autre histoire que celle qu’on a pu entendre hier. Evidemment, les médias sont la propriété des mêmes, ceux qui devraient payer l’ISF justement. Le monde est donc parfait comme je le disais précédemment.
Enfin parfait pour eux !
samedi 9 décembre 2017
Juste quelques hommes.
Comment un petit groupe d’hommes peut-il mener le monde ? Décider de vies ou de morts des autres.
Le vingtième siècle a commencé par cette guerre sans nom, déclarée par peu d’hommes. Comment ont-ils pu en emmener tant d’autres en enfer ? Ces gens sont des criminels, sous couvert de nationalisme, de défense, liberté, ils ont vidés la jeunesse des pays. Pourquoi ? Si ce n’est faire le bonheur des vendeurs d’armes, vendeurs de larmes. Pendant plus de quatre ans cette minorité a inlassablement envoyé leurs semblables à la boucherie, pour une colline, une tranchée ou quelques mètres de boue.
Cette guerre a fomenté la seconde. Les nations avaient mémorisé ce carnage et ne pouvaient raisonner normalement. Puis le nationalisme allemand est arrivé avec cette mémoire de vaincu. Je suis persuadé que Hitler n’était pas seul, il a été aidé par des groupuscules financiers qui cherchaient en cet homme un ordre, une sécurité afin de mener leurs affaires lucratives. Combien d’hommes se sont enrichis grâce à Hitler. Il fallait quand même une bonne guerre pour remplir les mannes de ces financiers. J’ai entendu souvent cette phrase « il nous faudrait une bonne guerre !» Comme s’il y avait de bonnes ou mauvaises guerres, comme si on pouvait y envoyer n'importe quel volontaire. Pendant ce temps Staline épurait sa Russie, envoyait des trains entiers au goulag.
Enfin la guerre revient ! Et s'en va! je ne m'y arrête pas. Trop d'atrocités et des gens qui savaient et n'ont rien fait.
Après s’être partagé le monde, les dominants ont inventé un nouveau problème. La guerre froide. Cela leur a permis de fabriquer des tonnes d’armes dangereuses; à qui cette fabrication a-t-elle profité ? Pourquoi n’a-t-on pas laissé les gens vivre dans leur idéologie propre? Les Américains sont devenus paranos avec le communiste. La chasse aux sorcières a été organisée dans quel but ? Pouvoir mieux contrôler les gens ? Une fois finie cette traque ; on est allé faire la guerre à l’extérieur; le Vietnam. Pendant ce temps Mao affamait et tuait son peuple.
Kennedy était un espoir, une autre façon de voir le monde, de faire de la politique. Il semblait vouloir promouvoir la paix ; « Paix! » ce mot que certains ne voulaient pas entendre ils ont tué JFK. Ce sont les chefs de guerre et autre CIA qui l'ont tué, puis cinq années plus tard ils tuent son frère Bobby qui voulait entamer des négociations de paix sur le Vietnam. Il a été abattu car il allait gagner les élections avec ses idées de paix. Figurez-vous que c'est Mosanto qui fournissait le Napalm à cette époque, il arrosait les gens de son poison incendiaire; Il s'est fait une fortune en tuant des milliers de gens et d'enfants, maintenant il règne en maitre sur l'agriculture mondiale.
Après ce déferlement de millions de tonnes de bombes sur le Vietnam et une défaite cinglante, les états unis se sont concentrés sur l’Amérique du sud. Elle a aidé les tortionnaires chiliens et argentins n’hésitant pas à tuer Allende. Les Russes n’ont rien à leur envier bien sûr, posant une chape de plomb sur l’est de toute l’Europe, attaquant l’Afghanistan et, de fait, fait naitre un terrorisme latent.
Et après ça continue, c’est formidable les Etats-Unis combattent les terrorismes qu’ils ont aidés et armés contre les Russes. Imaginez ce soldat américain se faisant tuer par des armes que son compatriote et peut être voisin a construit. Je pourrais continuer inlassablement mais cela devient abject.
Donc juste quelques hommes mènent le monde en faisant leurs gros profits, ils ont les états à leurs bottes, il suffit de voir comment Bush Junior s’est fait manipuler pour envoyer ses troupes envahir l’IRAQ; faut dire que Dick Cheney, son vice président, était fabriquant d'armes. Ces hommes contrôlent aussi les médias pour nous apprendre et nous faire comprendre que ces guerres sont bonnes (encore!) pour le monde ; que sans eux se serait l’anarchie, le chaos. Je demande à voir si le monde aurait mal tourné sans eux, ce que je sais c’est que des centaines de millions d’hommes ne seraient pas morts, que ces milliards dépensés dans des guerres auraient pu servir à nourrir un monde affamé. Au lieu d’engraisser des dictateurs africains, l’argent aurait pu être utilisé pour développer et aider ces peuples devenus pauvres et errants. Utopiste ! je sais. On nous vend toujours un monde noir ou blanc, un monde avec des gentils et des méchants. Le monde n’est ni blanc ni noir, il est gris je l’aimerais coloré.
Maintenant les puissances occultes ont trouvé un pantin du nom de Trump, avec ce fou on va pouvoir embraser le monde et se faire plein d’argent.
Mourir sur un tas d’or est-il plus confortable que sous un tas de terre? Pas sûr!
Le vingtième siècle a commencé par cette guerre sans nom, déclarée par peu d’hommes. Comment ont-ils pu en emmener tant d’autres en enfer ? Ces gens sont des criminels, sous couvert de nationalisme, de défense, liberté, ils ont vidés la jeunesse des pays. Pourquoi ? Si ce n’est faire le bonheur des vendeurs d’armes, vendeurs de larmes. Pendant plus de quatre ans cette minorité a inlassablement envoyé leurs semblables à la boucherie, pour une colline, une tranchée ou quelques mètres de boue.
Cette guerre a fomenté la seconde. Les nations avaient mémorisé ce carnage et ne pouvaient raisonner normalement. Puis le nationalisme allemand est arrivé avec cette mémoire de vaincu. Je suis persuadé que Hitler n’était pas seul, il a été aidé par des groupuscules financiers qui cherchaient en cet homme un ordre, une sécurité afin de mener leurs affaires lucratives. Combien d’hommes se sont enrichis grâce à Hitler. Il fallait quand même une bonne guerre pour remplir les mannes de ces financiers. J’ai entendu souvent cette phrase « il nous faudrait une bonne guerre !» Comme s’il y avait de bonnes ou mauvaises guerres, comme si on pouvait y envoyer n'importe quel volontaire. Pendant ce temps Staline épurait sa Russie, envoyait des trains entiers au goulag.
Enfin la guerre revient ! Et s'en va! je ne m'y arrête pas. Trop d'atrocités et des gens qui savaient et n'ont rien fait.
Après s’être partagé le monde, les dominants ont inventé un nouveau problème. La guerre froide. Cela leur a permis de fabriquer des tonnes d’armes dangereuses; à qui cette fabrication a-t-elle profité ? Pourquoi n’a-t-on pas laissé les gens vivre dans leur idéologie propre? Les Américains sont devenus paranos avec le communiste. La chasse aux sorcières a été organisée dans quel but ? Pouvoir mieux contrôler les gens ? Une fois finie cette traque ; on est allé faire la guerre à l’extérieur; le Vietnam. Pendant ce temps Mao affamait et tuait son peuple.
Kennedy était un espoir, une autre façon de voir le monde, de faire de la politique. Il semblait vouloir promouvoir la paix ; « Paix! » ce mot que certains ne voulaient pas entendre ils ont tué JFK. Ce sont les chefs de guerre et autre CIA qui l'ont tué, puis cinq années plus tard ils tuent son frère Bobby qui voulait entamer des négociations de paix sur le Vietnam. Il a été abattu car il allait gagner les élections avec ses idées de paix. Figurez-vous que c'est Mosanto qui fournissait le Napalm à cette époque, il arrosait les gens de son poison incendiaire; Il s'est fait une fortune en tuant des milliers de gens et d'enfants, maintenant il règne en maitre sur l'agriculture mondiale.
Après ce déferlement de millions de tonnes de bombes sur le Vietnam et une défaite cinglante, les états unis se sont concentrés sur l’Amérique du sud. Elle a aidé les tortionnaires chiliens et argentins n’hésitant pas à tuer Allende. Les Russes n’ont rien à leur envier bien sûr, posant une chape de plomb sur l’est de toute l’Europe, attaquant l’Afghanistan et, de fait, fait naitre un terrorisme latent.
Et après ça continue, c’est formidable les Etats-Unis combattent les terrorismes qu’ils ont aidés et armés contre les Russes. Imaginez ce soldat américain se faisant tuer par des armes que son compatriote et peut être voisin a construit. Je pourrais continuer inlassablement mais cela devient abject.
Donc juste quelques hommes mènent le monde en faisant leurs gros profits, ils ont les états à leurs bottes, il suffit de voir comment Bush Junior s’est fait manipuler pour envoyer ses troupes envahir l’IRAQ; faut dire que Dick Cheney, son vice président, était fabriquant d'armes. Ces hommes contrôlent aussi les médias pour nous apprendre et nous faire comprendre que ces guerres sont bonnes (encore!) pour le monde ; que sans eux se serait l’anarchie, le chaos. Je demande à voir si le monde aurait mal tourné sans eux, ce que je sais c’est que des centaines de millions d’hommes ne seraient pas morts, que ces milliards dépensés dans des guerres auraient pu servir à nourrir un monde affamé. Au lieu d’engraisser des dictateurs africains, l’argent aurait pu être utilisé pour développer et aider ces peuples devenus pauvres et errants. Utopiste ! je sais. On nous vend toujours un monde noir ou blanc, un monde avec des gentils et des méchants. Le monde n’est ni blanc ni noir, il est gris je l’aimerais coloré.
Maintenant les puissances occultes ont trouvé un pantin du nom de Trump, avec ce fou on va pouvoir embraser le monde et se faire plein d’argent.
Mourir sur un tas d’or est-il plus confortable que sous un tas de terre? Pas sûr!
mercredi 6 décembre 2017
Johnny s’en va
« Retiens la nuit ! et nous fasse oublier la vie! » C’est dans cette nuit qu’il oublie la vie.
On reconnait un grand artiste à ce qu’il rythme votre vie. Vous écoutez ses chansons et cela vous rappelle un instant, un bout de vie. Vous mesurez le trajet parcouru, toutes les années vécues en écoutant ses titres.
Je n’étais pas particulièrement fan de Johnny, pourtant j’ai commencé à m’intéresser à la musique avec lui, l’époque de « âge tendre et tête de bois ». Une émission qui cassait les codes d’une télé frigide, elle permettait de voir de jeunes chanteurs français et étrangers. La jeunesse se libérait d’un carcan que les adultes nous faisaient endosser, oubliant souvent qu’ils avaient été adolescents. C’était l’époque de « Salut les copains », d’une certaine révolution.
Mon père disait de lui à cette époque « s’il chante aussi fort il ne durera pas longtemps !»
Puis je me suis intéressé à la musique anglo-saxonne, avec les Led Zeppelin, CCR, Uriah heep et autres Pink Floyd. Régulièrement tout de même un air de Johnny me revenait à l’oreille. Je me souviens avoir assisté à un concert de lui à Paris, début année soixante-dix, il y avait Polnareff au piano. C’est un professionnel que j’ai découvert, c’était rodé, rythmé enfin on en prenait pleins les yeux et les oreilles. C’était le temps des « que je t’aime ! » Chanson érotique qui marque une libération sexuelle.
Johnny est multi générationnel, mes fils écouteront entre deux raps assommants une chanson de lui que les autres n’arriveront pas à rivaliser à l’usure du temps.
Johnny c’est surtout cinquante ans de chansons françaises, de bonnes chansons. Beaucoup d’auteurs compositeurs ont donné de leur plume et de leurs notes pour lui faire des succès gravés dans nos mémoires. Johnny leur permettra de rester à jamais célèbres.
Johnny tu aurais pu retenir encore cette nuit, le temps de te dire au revoir !
samedi 11 novembre 2017
Un monde merveilleux
Voila quelques mois que Macron est arrivé au pouvoir.
Qu’est ce qui a changé ? Rien serions nous tenté de dire. Pourtant la parole du libéralisme semble libérée, justement, d’un carcan soit disant socialiste. Macron se déclarait ni de gauche ni de droite là on voit qu’il a franchement basculé dans un libéralisme impitoyable.
Les gens ont été formatés, lessivés par des discours paternalistes nous disant qu’il n’y avait pas d’autres solutions que celle-ci, sinon une extrême-droite réactionnaire. On nous a asséné de problèmes de dettes à rembourser, d’entreprises qu’il faut aider pour éradiquer un chômage, mal du siècle, de libéraliser le travail pour permettre aux grosses entreprises de jeter le personnel dehors au profit d’actionnaires toujours plus gourmands. Il faut donc se taire et faire des efforts, sinon des jours sombres vont nous tomber dessus comme un retour à un moyen-âge en noir et blanc.
A tous ces maux, la seule issue nous dit-on c’est un mondialisme effréné géré pas des multinationales qui n’ont plus rien à voir avec les états, n’ont donc plus besoin de parler de couverture sociale car le travailleur vient de n’importe où.
Dans les quinquennats précédents ces discours étaient sous entendus, enrobés dans des paroles sociales. Avec Macron nous avons ouvert la boite de Pandore.
Sans parler de complot, les gens qui ont réussi forment une classe au dessus des autres. Ce sont les banques, les multinationales qui ont la main mise sur le monde. Pourquoi ces gens là possèdent-ils la plus part des médias ? Pour mieux distiller leurs discours. Inlassablement nous sommes abreuvés d’informations sournoises, nous montrant par exemple l’Allemagne comme un pays qui réussit, sans nous parler des travailleurs pauvres de ce pays. Un autre exemple, Trump, on l’incendie à longueur de journée car il n’aime pas les médias, c’est entendu je ne le défends pas, il est fou ce type, mais les médias, même français, s’acharnent sur lui de façon un peu trop caricaturale.
Donc nous voila dans un pays libéralisé. Petit à petit on va rogner sur les avantages sociaux, l’hôpital, la sécu, la retraite et tous les services de l’état. Macron nous dit qu’il faut aider les riches car ce sont eux le moteur, donc plus d’ISF, de l’autre côté on augmente la CSG. On arrête les emplois aidés qui permettaient l’aide aux personnes âgées et dans le besoin. Je ne suis pas économiste mais je trouve cela parlant. Vous verrez que les universités seront de plus en plus chères, faisant une sélection par l’argent. Les riches resteront entre eux en prenant les autres pour des assistés; assistés de moins en moins car on va rogner sur les aides. On va nous dire « regardez dans les autres pays ils travaillent encore à soixante dix ans !» Et disant encore « vous les chômeurs bougez-vous le cul ; il y a des sociétés nouvelles qui vous attendent, des Ubéristes où vous travaillez quand vous voulez, mais pour réussir il ne faut pas avoir peur de faire 10 heures par jour sans couvertures sociales ». C’est cela la vision de Macron, les start-up qui comme ce nom l’indique ne font que démarrer pour ce faire un paquet d’argent, car si elles durent, par définition, ce ne sera plus des start-up.
Et les gens dans tout ça ? Macron les appelle « ceux qui ne sont rien ! ». Parce que pour notre président réussir c’est se faire un paquet de fric, comme si le bonheur était monnayable. Nous serions tentés d’attendre une révolution, ces gens qui n’ont pas réussi sont beaucoup plus nombreux que les autres. C’est prendre les dominants pour des demeurés, mettez un groupe de personnes dans un avion en feu, combien vont marcher sur les autres pour se sauver. Les dominants se servent de cette réaction de survie, ils se disent qu’il y en aura toujours qui prendront le job même s’il est proche de l’esclavage. Certains iront, pensant qu’ils pourront atteindre ce monde qui a réussi. Utopie ! Ils ne seront toujours qu’un rouage, c’est comme l’appelle Alain Deneault, le nivellement par le moyen ; on n’est pas des laissés pour compte on fait partie de la société qui avance. Nous sommes des rouages de la grande machine capitaliste et soyons heureux de ne pas être des laissés pour compte sur le bord de la route. Le but dans tout cela, c’est ce que les grandes écoles de management apprennent, c’est de faire croire aux employés qu’ils sont indispensables, qu’ils font partie d’une équipe et donc qu’il faut faire des efforts sinon ils y en a d’autres qui attendent. La majorité silencieuse suivra en courbant l’échine pensant que c’est le seul chemin.
J’aurais pensé qu’internet aurait éduqué le peuple, l’aurait initié ; avec ce média on peut se cultiver, évoluer et se former. Il y a eu un bref moment de liberté mais des malins ont su exploiter cette manne qu’est le WEB. Le GAFA (Google, Amazon, FaceBook et Apple) ont pris la main sur tout ce qui se passe sur Internet. Ces grands groupes stockent nos données personnelles et nous servent leur soupe. Désormais vous regardez une page d’un site, et bien votre voisin regardant la même page n’aura pas le même contenu. Faîtes une recherche sur Google on ne vous donnera pas le même choix dans le moteur. Au début de Facebook, les pages étaient affichées dans un ordre chronologique, maintenant elles s’affichent suivant un contexte dunmoment et sont de plus en plus filtrées. Tout cela n’est pas grand-chose à priori mais petit à petit on conditionne les internautes et on les dirige vers ce que l’on veut. L'information n'est pas ce que veut entendre le lecteur, c'est un point de vue, sinon c'est du conditionnement.
Voila nous sommes citoyens du monde donc le mondialisme doit être fait pour nous ! Il y a cent ans de cela le monde ouvrier prônait l’internationalisme ; sans suite. Là un petit groupe d’hommes nous emmène dans leur monde fait pour eux. Un monde merveilleux !
Qu’est ce qui a changé ? Rien serions nous tenté de dire. Pourtant la parole du libéralisme semble libérée, justement, d’un carcan soit disant socialiste. Macron se déclarait ni de gauche ni de droite là on voit qu’il a franchement basculé dans un libéralisme impitoyable.
Les gens ont été formatés, lessivés par des discours paternalistes nous disant qu’il n’y avait pas d’autres solutions que celle-ci, sinon une extrême-droite réactionnaire. On nous a asséné de problèmes de dettes à rembourser, d’entreprises qu’il faut aider pour éradiquer un chômage, mal du siècle, de libéraliser le travail pour permettre aux grosses entreprises de jeter le personnel dehors au profit d’actionnaires toujours plus gourmands. Il faut donc se taire et faire des efforts, sinon des jours sombres vont nous tomber dessus comme un retour à un moyen-âge en noir et blanc.
A tous ces maux, la seule issue nous dit-on c’est un mondialisme effréné géré pas des multinationales qui n’ont plus rien à voir avec les états, n’ont donc plus besoin de parler de couverture sociale car le travailleur vient de n’importe où.
Dans les quinquennats précédents ces discours étaient sous entendus, enrobés dans des paroles sociales. Avec Macron nous avons ouvert la boite de Pandore.
Sans parler de complot, les gens qui ont réussi forment une classe au dessus des autres. Ce sont les banques, les multinationales qui ont la main mise sur le monde. Pourquoi ces gens là possèdent-ils la plus part des médias ? Pour mieux distiller leurs discours. Inlassablement nous sommes abreuvés d’informations sournoises, nous montrant par exemple l’Allemagne comme un pays qui réussit, sans nous parler des travailleurs pauvres de ce pays. Un autre exemple, Trump, on l’incendie à longueur de journée car il n’aime pas les médias, c’est entendu je ne le défends pas, il est fou ce type, mais les médias, même français, s’acharnent sur lui de façon un peu trop caricaturale.
Donc nous voila dans un pays libéralisé. Petit à petit on va rogner sur les avantages sociaux, l’hôpital, la sécu, la retraite et tous les services de l’état. Macron nous dit qu’il faut aider les riches car ce sont eux le moteur, donc plus d’ISF, de l’autre côté on augmente la CSG. On arrête les emplois aidés qui permettaient l’aide aux personnes âgées et dans le besoin. Je ne suis pas économiste mais je trouve cela parlant. Vous verrez que les universités seront de plus en plus chères, faisant une sélection par l’argent. Les riches resteront entre eux en prenant les autres pour des assistés; assistés de moins en moins car on va rogner sur les aides. On va nous dire « regardez dans les autres pays ils travaillent encore à soixante dix ans !» Et disant encore « vous les chômeurs bougez-vous le cul ; il y a des sociétés nouvelles qui vous attendent, des Ubéristes où vous travaillez quand vous voulez, mais pour réussir il ne faut pas avoir peur de faire 10 heures par jour sans couvertures sociales ». C’est cela la vision de Macron, les start-up qui comme ce nom l’indique ne font que démarrer pour ce faire un paquet d’argent, car si elles durent, par définition, ce ne sera plus des start-up.
Et les gens dans tout ça ? Macron les appelle « ceux qui ne sont rien ! ». Parce que pour notre président réussir c’est se faire un paquet de fric, comme si le bonheur était monnayable. Nous serions tentés d’attendre une révolution, ces gens qui n’ont pas réussi sont beaucoup plus nombreux que les autres. C’est prendre les dominants pour des demeurés, mettez un groupe de personnes dans un avion en feu, combien vont marcher sur les autres pour se sauver. Les dominants se servent de cette réaction de survie, ils se disent qu’il y en aura toujours qui prendront le job même s’il est proche de l’esclavage. Certains iront, pensant qu’ils pourront atteindre ce monde qui a réussi. Utopie ! Ils ne seront toujours qu’un rouage, c’est comme l’appelle Alain Deneault, le nivellement par le moyen ; on n’est pas des laissés pour compte on fait partie de la société qui avance. Nous sommes des rouages de la grande machine capitaliste et soyons heureux de ne pas être des laissés pour compte sur le bord de la route. Le but dans tout cela, c’est ce que les grandes écoles de management apprennent, c’est de faire croire aux employés qu’ils sont indispensables, qu’ils font partie d’une équipe et donc qu’il faut faire des efforts sinon ils y en a d’autres qui attendent. La majorité silencieuse suivra en courbant l’échine pensant que c’est le seul chemin.
J’aurais pensé qu’internet aurait éduqué le peuple, l’aurait initié ; avec ce média on peut se cultiver, évoluer et se former. Il y a eu un bref moment de liberté mais des malins ont su exploiter cette manne qu’est le WEB. Le GAFA (Google, Amazon, FaceBook et Apple) ont pris la main sur tout ce qui se passe sur Internet. Ces grands groupes stockent nos données personnelles et nous servent leur soupe. Désormais vous regardez une page d’un site, et bien votre voisin regardant la même page n’aura pas le même contenu. Faîtes une recherche sur Google on ne vous donnera pas le même choix dans le moteur. Au début de Facebook, les pages étaient affichées dans un ordre chronologique, maintenant elles s’affichent suivant un contexte dunmoment et sont de plus en plus filtrées. Tout cela n’est pas grand-chose à priori mais petit à petit on conditionne les internautes et on les dirige vers ce que l’on veut. L'information n'est pas ce que veut entendre le lecteur, c'est un point de vue, sinon c'est du conditionnement.
Voila nous sommes citoyens du monde donc le mondialisme doit être fait pour nous ! Il y a cent ans de cela le monde ouvrier prônait l’internationalisme ; sans suite. Là un petit groupe d’hommes nous emmène dans leur monde fait pour eux. Un monde merveilleux !
vendredi 28 avril 2017
On a pas mieux?
Le premier tour est passé. Fillion éliminé, c’est bien je ne pouvais plus l’entendre celui-là. Le PS au trente-sixième dessous, c’est ce qu’il pouvait leur arriver de mieux, quoiqu’ils n’aient pas l’air de faire leur autocritique; avec un quinquennat comme on a eu ils ne pouvaient pas espérer tant. Mélenchon lui, on ne l’attendait pas là, dommage pour lui qu’il ne soit pas allé jusqu’au bout. Les socialistes demandent à ne pas voter Le Pen, avec le score qu’on leur prédisait ils auraient dû se retirer au profit de Mélenchon et le FN aurait été éliminé (CQFD); mais les egos sont plus forts que l’avenir de la France.
Macron ou Le Pen , je ne veux aucun des deux.
Quand je vois Macron chez Whirlpool, je me dis qu’il y a comme un gout de déjà vu. Pourquoi il aurait quelque chose de mieux à proposer que lorsqu’il était au gouvernement. Avec son mondialisme, qu’il prône, je ne vois pas ou il va trouver les emplois. Je pensais qu’il allait rapprocher la gauche et la droite mais ses idées ne sont que de droite. Voter pour lui c'est donner un chèque en blanc à la finance; nous serons gouvernés par des consortiums bancaires. Ce sont ces gens: Macron, la gauche,la droite qui ont nourri Le Pen; ils nous font toujours le même chantage.
Comment peut-t-on repartir dans un même schéma pour cinq ans?
Je ne parle pas de Le Pen, elle n’y connait pas grand-chose et ne maitrise pas. Elle parle des ouvriers et aux ouvriers ce que la gauche ne voulait plus faire de ce côté, c’est mieux. Elle donne un peu d’espoir mais je pense que ça s’arrête là. Je ne parlerai pas des démons qu’elle a dans son cabas les médias s’en sont déjà donné à cœur joie.
Enfin on est mal barré avec ces deux là, je regrette de plus en plus Mélenchon. Son discours me plaisait ; bien sûr les médias l’ont descendu en rappelant de vieux écarts de colère, ses positions dans le passé comme si on ne pouvait pas évoluer. Sa campagne s’est déroulée sans erreurs et fautes. C’est le seul qui est convaincu de ce qu’il dit. Se référer à ses interviews montre qu’il maitrise son sujet. Il peut faire peur ,je dirais impression plutôt, mais au moins il propose du changement. Dire que la France peut tenir tête à l’Allemagne c’est fort ; c’est le seul qui croit en une France forte.
Alors c’est Macron qui va gagner, il va prendre le vote pour un plébiscite bien que beaucoup vont voter par défaut. Ce que veut Mélenchon est inéluctable mais il faudra perdre encore cinq ans.
Macron ou Le Pen , je ne veux aucun des deux.
Quand je vois Macron chez Whirlpool, je me dis qu’il y a comme un gout de déjà vu. Pourquoi il aurait quelque chose de mieux à proposer que lorsqu’il était au gouvernement. Avec son mondialisme, qu’il prône, je ne vois pas ou il va trouver les emplois. Je pensais qu’il allait rapprocher la gauche et la droite mais ses idées ne sont que de droite. Voter pour lui c'est donner un chèque en blanc à la finance; nous serons gouvernés par des consortiums bancaires. Ce sont ces gens: Macron, la gauche,la droite qui ont nourri Le Pen; ils nous font toujours le même chantage.
Comment peut-t-on repartir dans un même schéma pour cinq ans?
Je ne parle pas de Le Pen, elle n’y connait pas grand-chose et ne maitrise pas. Elle parle des ouvriers et aux ouvriers ce que la gauche ne voulait plus faire de ce côté, c’est mieux. Elle donne un peu d’espoir mais je pense que ça s’arrête là. Je ne parlerai pas des démons qu’elle a dans son cabas les médias s’en sont déjà donné à cœur joie.
Enfin on est mal barré avec ces deux là, je regrette de plus en plus Mélenchon. Son discours me plaisait ; bien sûr les médias l’ont descendu en rappelant de vieux écarts de colère, ses positions dans le passé comme si on ne pouvait pas évoluer. Sa campagne s’est déroulée sans erreurs et fautes. C’est le seul qui est convaincu de ce qu’il dit. Se référer à ses interviews montre qu’il maitrise son sujet. Il peut faire peur ,je dirais impression plutôt, mais au moins il propose du changement. Dire que la France peut tenir tête à l’Allemagne c’est fort ; c’est le seul qui croit en une France forte.
Alors c’est Macron qui va gagner, il va prendre le vote pour un plébiscite bien que beaucoup vont voter par défaut. Ce que veut Mélenchon est inéluctable mais il faudra perdre encore cinq ans.
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